Titre du livre : Crimson spell
Auteur : Ayano Yamane
Editions : Asuka
Collection : BL
Traducteur : Julia Brun
Genre : Manga
Genre : Manga
Lectorat : 18 + Public averti ! Relations homosexuelles. (Mais pas l'article :p)
ISBN : 978-2-82030-412-4
4ème de couverture :
En sortant de son fourreau 'épée légendaire de la famille royale, le prince Valdrigr a été frappé par une effroyable malédiction qui le change en démon. Seul le séduisant mage Halvir est assez puissant pour dompter l'effroyable créature avec qui il partage désormais son enveloppe charnelle. Ensemble, ils partent en quête d'une solution, au cours d'un périple semé d’embûches...
Mon avis à Mouah :
Un manga qui concilie un auteur que j'aime beaucoup, le yaoi (c'est comme ça qu'on appelle un manga avec des relations masculines), et la fantasy, je ne pouvais rêver mieux. Dans le genre, il y en a peu, et celui ci étant particulièrement soigné, et surtout en plein plein plein de volumes (je n'ai pas connaissance d'une fin encore), de quoi me satisfaire amplement.
C'est donc l'histoire de Vald, prince aîné d'un petit royaume, qui se retrouve à devoir repousser une invasion de démons. Son seul espoir : l'épée de sa famille, qui, dit-on, est porteuse d'une affreuse malédiction. Le démon de l'épée prend possession de son corps et démoli tout ce qui bouge. Ennemi, mais aussi ami, si Vald n'y prend pas garde. Il se rend donc chez un mage qui, parait-il, serait le meilleur, pour défaire cette malédiction. Halvir, le mage, lui propose un échange de bon procédés. Ils partent en quête d'un objet magique, et après, Halvir lêvera la malédiction. Comme si cela allait être aussi simple.
Bon, et les fesses là-dedans ? Cela s'apparenterait presque à du fan service, et je suis certaine, qu'avec un poil d'adaptation, on pourrait retravailler toute l'histoire pour en faire juste un fantasy. En fait Halvir recharge son énergie mystique d'une manière plutôt particulière, si vous voyez ce que je veux dire.
J'aime beaucoup l'humour qui s'en dégage, entre une certaine naïveté du prince Vald, et les embûches qui leur tombent dessus, ou encore les petits détails qui n'apportent guère à l'avancée de l'histoire, mais qui donnent une trame poussée à l'intrigue.
C'est donc l'histoire de Vald, prince aîné d'un petit royaume, qui se retrouve à devoir repousser une invasion de démons. Son seul espoir : l'épée de sa famille, qui, dit-on, est porteuse d'une affreuse malédiction. Le démon de l'épée prend possession de son corps et démoli tout ce qui bouge. Ennemi, mais aussi ami, si Vald n'y prend pas garde. Il se rend donc chez un mage qui, parait-il, serait le meilleur, pour défaire cette malédiction. Halvir, le mage, lui propose un échange de bon procédés. Ils partent en quête d'un objet magique, et après, Halvir lêvera la malédiction. Comme si cela allait être aussi simple.
Bon, et les fesses là-dedans ? Cela s'apparenterait presque à du fan service, et je suis certaine, qu'avec un poil d'adaptation, on pourrait retravailler toute l'histoire pour en faire juste un fantasy. En fait Halvir recharge son énergie mystique d'une manière plutôt particulière, si vous voyez ce que je veux dire.
J'aime beaucoup l'humour qui s'en dégage, entre une certaine naïveté du prince Vald, et les embûches qui leur tombent dessus, ou encore les petits détails qui n'apportent guère à l'avancée de l'histoire, mais qui donnent une trame poussée à l'intrigue.
Cette bouteille ne fait que vieillir le vin plus vite.
Ne vous imaginez pas autre chose bande de cochons !
Notes :
Format : 10/10
Juste trop court.
Attrait de la couverture : 10/10
Miam !
Attrait de la 4eme de couverture : 8/10
Si on ressent bien la fantasy dans le résumé, on se demande bien ou se cache la partie fesses.
Si on ressent bien la fantasy dans le résumé, on se demande bien ou se cache la partie fesses.
Action : 10/10
Sans être des bagarres et des fesses à répétition, on n'a pas le temps de s'ennuyer.
Fin : 8/10
La fin du tome 1 se place assez logiquement, mais l'auteur n'a pas pu s'empêcher de placer un pavé de fan service dont on aurait pu se passer.
Facilité de lecture : 10/10
Ca reste un manga avec des fesses. Un poil de vocabulaire mystique, mais rien de bien compliqué. En revanche, pour l'anecdote, la première fois que je l'ai lu, c'était en anglais, et malgré mon niveau correct, j'ai du ressortir le dictionnaire !
Note finale: 9.3/10
Conclusion :
On retrouve bien là le style de l'auteur, un peu (beaucoup) sadique, quoique pas autant que dans ses autres ouvrages, et on sent bien qu'elle s'est éclatée sur le projet. Le peu d'ouvrage que compte le genre yaoi fantasy lui ont permis de céder à certaines facilités, rendant un peu classique l'histoire et les détails. La régénération de l'énergie mystique par des cochonneries, un familier qui se transforme en humain, le mage le plus puissant de l'univers chassé par ses pairs, ou encore, un personnage aux cheveux long (qui était très bien comme ça merdeuh !) qui finit aux cheveux courts (volontairement cette fois, mais ce n'est pas rare que ce soit accidentel). Rien de trop ennuyeux, mais un poil plus de réflexion aurait donné une qualité supérieure à l'ouvrage.Celui ci reste toutefois un modèle du genre, aux graphismes soignés et à l'ambiance démon-fantasy suffisamment variée.
Attention, ça mord !
Enjoy !
Petit apparté.
Un ami m'a un jour demandé pourquoi j'aimais le yaoi. On sait souvent pourquoi on n'aime pas, mais on se pose rarement la question inverse. En réfléchissant, et en discutant avec lui, j'ai fini par conclure que ce n'est pas forcément le yaoi en lui-même qui me plaisait. Voir deux mâles à poil en train de conchonceter dans la chambre (ou ailleurs) ne fait pas parti de mes fantasmes. D'ailleurs, je ne regarde pas de films de fesses de ce genre. C'est pas mon trip. Alors quoi ? La réponse à ce moment là m'est venu naturellement. Parce qu'il n'existe pas de mangas avec autant d'humour en version "standard". L'humour et la maturité des sujets traités ne se retrouvent pas dans le style classique des mangas. Les shojos sont trop sucrés à mon gout, et le hentai, c'est clairement moins rafiné (même si j'aime quand même le hentai et le shojo). En fait, si dans les yaoi que je lis on remplaçait le mâle "dominé" par une dame, je m'en ficherais complètement et j'aimerais autant l'histoire.
Et puis en réfléchissant encore un peu plus, j'ai réalisé que j'avais déjà lu un manga avec un monsieur et une dame, qui était du même genre que je recherche dans le yaoi. Ca s'appelle Love Celeb, ou encore Haou Airen (pas sorti en france malheureusement), de Mayu Shinjo. Mais vous en aurez les fiches un autre jour ;)
Petit apparté.
Un ami m'a un jour demandé pourquoi j'aimais le yaoi. On sait souvent pourquoi on n'aime pas, mais on se pose rarement la question inverse. En réfléchissant, et en discutant avec lui, j'ai fini par conclure que ce n'est pas forcément le yaoi en lui-même qui me plaisait. Voir deux mâles à poil en train de conchonceter dans la chambre (ou ailleurs) ne fait pas parti de mes fantasmes. D'ailleurs, je ne regarde pas de films de fesses de ce genre. C'est pas mon trip. Alors quoi ? La réponse à ce moment là m'est venu naturellement. Parce qu'il n'existe pas de mangas avec autant d'humour en version "standard". L'humour et la maturité des sujets traités ne se retrouvent pas dans le style classique des mangas. Les shojos sont trop sucrés à mon gout, et le hentai, c'est clairement moins rafiné (même si j'aime quand même le hentai et le shojo). En fait, si dans les yaoi que je lis on remplaçait le mâle "dominé" par une dame, je m'en ficherais complètement et j'aimerais autant l'histoire.
Et puis en réfléchissant encore un peu plus, j'ai réalisé que j'avais déjà lu un manga avec un monsieur et une dame, qui était du même genre que je recherche dans le yaoi. Ca s'appelle Love Celeb, ou encore Haou Airen (pas sorti en france malheureusement), de Mayu Shinjo. Mais vous en aurez les fiches un autre jour ;)
