vendredi 30 mai 2014

Bitter Virgin


Titre du livre : Bitter Virgin
Auteur : Kei Kusunoki
Volume : 1
Editions :  Ki-Oon
Traducteur : Ryoko Akiyama

Lectorat : 15 + Sujet sensible.

ISBN : 978-2-35592-062-2


 




4ème de couverture : 


Véritable tombeur, Daisuke Suwa est un lycéen sans histoire qui passe son temps à séduire les filles de son entourage. Il n'éprouve donc aucun intérêt pour Hinako Aikawa, une jeune fille calme et réservée, térifiée à l'idée du moindre contact avec la gent masculine...

Les sentiments de Daisuke vont finalement changer quand il entendra par accident la confession de Hinako dans une chapelle abandonnée...

Un sujet sensible et poignant pour une histoire d'amour douce, amère et pas comme les autres...



 Mon avis à Mouah :

D'abord, c'est un manga. Je l'ai acheté à Japan Expo, il y a quelques années, pour essayer la série. Ca avait l'air sympa. Si la 4eme de couverture laisse présager une histoire d'amour classique dans les mangas de lycéens, en fait il n'en est rien. Le sujet est sombre, et difficile à traiter, et pourtant l'auteur y réussi assez bien. Il ne faut pas croire que cela n'arrive qu'aux autres, et ce manga traite admirablement bien la "suite" des évènements. Ce n'est pas parce que c'est au japon que ça n'arrive pas chez nous.

Lorsque Hinako entend Daisuke, le "beau gosse" du lycée dire qu'il "ferait sans problème l'impasse" sur elle, on s'attend à la classique déception. Mais non. L'auteur ne nous emmène pas sur une Hinako qui irait pleurer à ses copines ou à ses peluches que c'est pas juste, qu'il n'a rien compris ou quoi. Non. On continue de suivre Daisuke, chez lui. Sa mère souhaite qu' il reprenne l'affaire familiale et épouse une fille du coin et lui fasse plein de petits-enfants. Sujet récurrent et facheur manifestement, puisque Daisuke finit par sortir prendre l'air, et aller méditer dans une église du coin. C'est lui qui avait lancé une rumeur d'église hantée pour y être tranquille. Mais voilà que quelqu'un rentre. Il se planque dans le confessionnal. Loupé, la personne qui vient d'entrer l'a vu se mettre au confessionnal et l'a manifestement prit pour le prêtre des lieux ! Daisuke se voit forcé s'écouter. La jeune fille lui raconte son histoire. Une histoire sordide. Abus sexuel. Viol. Fausse couche. La demoiselle ne sait pas qui se trouve dans le confessionnal, mais Daisuke reconnait Hinako.
Daisuke tente alors de comprendre cette fille, différente par son vécut, qui tente pourtant de vivre normalement.
Sans compter Yuzu et Kazuki, ses deux chéries en titre, qui ne verront pas forcément d'un bon oeil leur chéri s'interresser à une autre fille.

Notes :

Format : 10/10

Format poche
Attrait de la couverture : 5/10

La couverture fait franchement "fifille", ou très "otaku", mais difficile de rendre l'ambiance de l'histoire en une seule image. 
Attrait de la 4eme de couverture : 10/10

Pas d'aventure à proprement parler, puisque l'histoire se déroule dans un lycée contemporain, mais on sent quelque chose de plus lourd qu'annoncé. 
Action : 10/10

Daisuke ne semble jamais rien faire avec l'effet escompté. Mais qui sait comment il faut se comporter dans sa situation ? 
Fin : 10/10

La jalousie est une arme puissante. 
Facilité de lecture : 8/10

C'est un manga, assez bien dessiné, mais pas trop beau non plus, ce qui aurait dénaturé le sujet profond de l'histoire. J'avoue avoir été d'abord attirée par la couverture. Mais au final, j'ai apprécié l'histoire et sa nature profonde.

Note finale: 8.8/10



Conclusion :

L'histoire semble légère au premier abord, mais dès les premières pages, on déchante vite fait. L'historique de Hinako nous plonge dans un univers semé de terreurs et de phobies qui nous entrainent malgré nous. Certains pourraient y voir un voyeurisme mal placé, mais j'estime qu'il nous apprend à tempérer nos réactions face aux gens qui nous paraissent parfois à la timidité mal placée. Que savons nous de la vie de ces gens ? Une façon d'apprendre aussi à réagir, et peut-être, une sensibilisation à des actes qui ne devraient pas exister.




jeudi 22 mai 2014

Les chroniques de Krondor : Milamber le mage



Titre du livre :  Milamber le mage (ou Magicien, Le mage chez Milady Bragelonne)
Auteur : Raymond Elias Feist
Série : Les chroniques de Krondor  : La guerre de la faille (2)
Editions : J'ai lu 
Collection : Fantasy
Traducteur : Antoine Ribes

Illustrateur : Vincent Dutrait
Prix neuf : 8€40
Lectorat : 12 +  

ISBN : 978-2-290-31322-0


 




4ème de couverture : 


Le combat que se livrent peuples de Krondor et guerriers Tsurani fait rage. La guerre à séparé les amis d'autrefois... Pug, qui porte maintenant le nom de Milamber, va découvrir peu à peu le secret de son pouvoir de magicien. Tomas est devenu un guerrier aussi respecté que craint, car en lui se manifeste une présence dont les elfes savent qu'elle n'appartient plus au monde de Krondor. le prince Arutha, quant à lui, doit déjouer à la cour des complots visant à déstabiliser le royaume. Bientôt, tous vont devoir s'unir contre un ennemi venu de la nuit des temps...



 Mon avis à Mouah :

On retrouve Pug, aux mains des Tsurani, sur le monde qui se trouve de l'autre coté de la faille. Une première esquisse de cet autre peuple, et de ces autres coutumes, qui se rapprochent des manières asiatiques telles que les imaginent les européens. Il a la chance d'être tombé dans le clan des Shinzawaï. Une chance ? Vraiment ? Car les Maîtres Shinzawaï semblent accorder foi aux propos d'esclaves, et d'esclaves venus d'ailleurs, en plus. Jusqu'au jour où un très puissant décide de faire de Pug, la propriété de l'Assemblée, le conclave des magiciens.

Sur Midkemia, Arutha s'embarque avec Amos Trask à travers les passes des ténèbres pour atteindre Krondor, la capitale, et demander son aide à son oncle Erland, le Duc de Krondor, l'ouest du royaume. Mais sur place, il semble qu'Erland ait disparut, et que Guy du Bas-Tyra, un homme en guerre personnelle contre le père d'Arutha se soit proclamé chef des armées.
Tomas, quant à lui, se trouve désormais chez les elfes, et entretient une passion pour leur reine, Aglaranna. Mais des images de l'ancien temps l'assaillent, et lors des combats, il n'est plus qu'Ashen-Shugar, le dernier des Valheru... La dernière fois qu'on en a vu un, les guerres du chaos se déchainaient sur le monde...
Notes :

Format : 10/10

Format poche
Attrait de la couverture : 5/10

On ne comprend pas bien pourquoi les constellations passent par dessus l'homme, ni ce que l'homme fait au bord de cette falaise de pierre. Après avoir lu le livre, on sait de quel chapitre il s'agit, mais l'illustrateur n'a pas sur rendre les émotions du moment. 
Attrait de la 4eme de couverture : 10/10

Aventure promise... 
Action : 10/10

Des passages purement guerriers, d'autres plus zens, il faut bien que nos héros aient un peu de répis. Ou pas... 
Fin : 10/10

Deux surprises de taille terminent cet ouvrage. 
Facilité de lecture : 9/10

La plupart du vocabulaire étrange nous vient du premier livre, il n'y a donc que peu d'inconnu dans les termes utilisés. Toutefois, le découpage en chapitre par personne peut finir par être un peu fastidieux. 


Note finale: 9/10



Conclusion :

Pug découvre enfin quelle est la magie qu'il pratique, mais ses mésaventures ne sont pas terminées pour autant. D'un autre coté, on se prend de passion pour le prince Arutha, et pour cette canaille d'Amos Trask, qui n'est pas si honnête marchand qu'il le prétend. C'est un bon livre, dans la digne suite de Pug l'apprenti, qui nous entraine vers un tournant politique du royaume de Krondor.




Enjoy !

jeudi 15 mai 2014

La ballade de Pern : Les dauphins de Pern

Titre du livre : Les dauphins de Pern
Auteur : Anne McCaffrey
Série : La ballade de Pern : Les origines
Editions : Pocket
Collection : Fantasy
Traducteur : Simone Hilling
Couverture : W. Siudmak
Lectorat : 12 +
ISBN : 2-266-06924-1 
  
 

 
4ème de couverture :

Quand les premiers pionniers sont arrivés sur Pern, ils n'étaient pas seuls. des dauphins, à l'intelligence génétique accrue, sont venus avec eux ; ils ont peuplé les océans de la planète, pendant que leurs partenaires humains s'installaient sur les continents.
Mais les hommes, menacés par les Fils, condamnés à une lutte désespérée pour survivre, ont fini par oublier jusqu'à l'existence de leurs amis dauphins, réduite au rang de vieille légende.
Jusqu'au jour où le jeune Readis et Alemi, partis pêcher en haute mer, sont pris dans une tempête et sauvés par des créatures marines bien plus étranges pour eux que des dragons. Des créatures qui les ramènent sur le rivage et... leur parlent !
Commence alors une fantastique aventure, celle de la reprise de contact entre les deux espèces...


 
Mon avis à Mouah :
 
Ce volume se trouve chronologiquement après Le chant du dragon, puisqu'on y retrouve Alemi, le frère de Menolly, devenu Maître pêcheur. Lui aussi à fini par fuir leur père, et par s'installer au Fort de la Rivière Paradis, rescapé de leur ancêtres sur le continent méridional avec Jayge et Aramina. Leur fils Ainé, Readis, est déjà parfaitement intégré à la faune et flore locale et ne jure que par la pêche avec Alemi. Jusqu'à cette tempête qui renverse leur esquif, et ces poissons-bateaux qui viennent les sauver. Alemi et Readis les entendent distinctement parler, et leur dire merci, et de rien (parce qu'en plus ils sont polis !). Aramina trouve alors que c'en est trop. Elle interdit à Readis de retourner nager tout seul. Sous-entendu de retourner nager tout court. Readis le sait, mais quand un chevalier dragon, ignorant les ordres d'Aramina, l'invite à l'aider à nettoyer son dragon dans la mer, la tentation se fait trop forte et Readis y va.
Au fur et à mesure des aventures de Readis, on découvre une Aramina terrifiée pour Readis, à cause de ce qu'elle a elle même vécut (voir les renégats de Pern), qui interdit strictement à son fils, amoureux des dauphins de les revoir. Un conflit d'intérêt mère-fils qui pourrait bien dégénérer...

 
Notes :
Format : 10/10
Poche.
Attrait de la couverture : 10/10
Un homme poisson !
Attrait de la 4eme de couverture : 10/10
Des dauphins qui parlent ! Comment ça va se finir ?
Action : 8/10
On ne peut pas vraiment parler d'action, mais d'ambiance qui nous plonge au coeur des problèmes d'un ado en crise avec sa mère. 
Fin : 10/10
La fin n'est pas originale, connaissant McCaffrey, on s'y attend. Mais c'est toutefois un soulagement. 
Facilité de lecture : 10/10
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil... ou presque !
 
 
Note finale: 9.8/10
Conclusion : 
Mc Caffrey est toujours aussi douce dans sa narration, et ce livre permet à nos ados de s'identifier à Readis à qui on interdit ce qu'il a de plus cher. On y découvre aussi l'univers fascinant des dauphins au delà de leur attrait "mignon". Le sonar, le jeu, leur façon de vivre aussi.
 
 
Enjoy !

jeudi 8 mai 2014

Les Lames du Roi : L'insigne du chancelier

Titre du livre : L'insigne du Chancelier
Auteur : Dave Duncan
Série : Les Lames du Roi
Editions : Bragelonne
Collection : Le livre de poche
Traducteur :Cedric Perdereau
Couverture : Laurent Beauvallet
Lectorat : 14 +
ISBN : 978-2-253-12001-8
 
  
 
 
4ème de couverture :

Il est un fort, sur la lande, où l'on envoie les enfants rebelles : le Hall de Fer.
Quand ils en sortent, des années plus tard, ils sont devenus les meilleurs épéistes du royaume. On appelle ces combattants d'exception les "Lammes du Roi".
Le plus prestigieux d'entre eux est messire Durendal, dont ce livre nous conte la légende.
Un jour, le roi lui confie une périlleuse mission : partir à la recherche d'un vieux monastère, dans des contrées loingtaines, sur les traces d'un espion mystérieusement disparu.
Pour honorer son serment, Durendal devra tout sacrifier, son amour, ses amis, et affronter de sombres machinations.


 
Mon avis à Mouah :
 
Un livre sombre, ou la vie cotoie la mort, et où la notion d'honneur prend une nouvelle dimension. Un jour, on amène au Hall de Fer, un gamin. Un petit vaurien. Il deviendra celui qui se fait appeler Durendal. Mais avant, il lui faut passer par l'épreuve du Serment. Et Prime, le premier des futurs chevaliers, se tient encore devant lui. D'ordinaire, il s'agit du Roi qui réalise la cérémonie du Serment. Mais cette fois voit débarquer un marquis rondouillard et antipathique. Le frère de la maîtresse du Roi... La cérémonie du Serment est sacrée, et consacrée par un rituel héraldique immuable. L'attente, le jeûne, la purification, puis le futur maître doit plonger la future épée de la future Lame dans le coeur de Prime, et la retirer sans que le sang coule, afin de s'attacher sa loyauté pour toujours. Après ce rituel, la Lame est attachée ad vitam eternam à la personne qui a réalisé le rituel. Et lorsque l'on prle de candidats morts sur la pierre, c'est pour effrayer les bizuts... Jusqu'à ce que le marquis arrive, et que Prime décède sur la pierre du Serment. Revient alors à Durendal de se soummettre au rituel, sans l'assurance d'y survivre... 

 
Notes :
Format : 9/10
Poche. Un peu gros.
Attrait de la couverture : 10/10
On sent le chevalier, pourtant au bout du rouleau, et comme enchainé, se tenir encore là, prêt à se battre.
Attrait de la 4eme de couverture : 8/10
Si le début du résumé nous intrigue fortement, la fin douche un peu notre enthousiasme; Un vieux monastère aux confins du monde, ca reste classique.
Action : 10/10
100% d'action. Un poil de politique (on est à la cours du roi, après tout), et les conflits intérieurs se mêlent pour donner un résultat impressionnat. 
Fin : 10/10
Fin originale, qui révèle, non la bassesse de l'homme, mais sa fragilité face au désir de vivre, malgré l'heure venue. 
Facilité de lecture : 10/10
Je n'ai pas souvenir de mots trop compliqués. Peut-être les termes en rapport avec les conjurations...
 
 
Note finale: 9.8/10
 
Conclusion : 
Un livre qui remet à sa place l'image que l'on se fait des chevaliers, malgré les conjurations qui opèrent. D'ailleurs, c'est intéressant de découvrir cet aspect de la magie qui est rare de nos jours, où la magie élémentaire est la norme classique.
 
 
Enjoy !

jeudi 1 mai 2014

La Trilogie de l'Empire : Fille de l'Empire

Titre du livre : Fille de l'Empire
Auteurs : Raymond E. Feist, Janny Wurts
Série : Krondor - La trilogie de l'Empire (1)
Editions : J'ai Lu
Collection : Fantasy
Traducteur : Anne Vétillard
Couverture :Johan Camou
Lectorat : 14 et +
 
  
 
 
4ème de couverture :

C'est au moment où Mara, unique héritière du Clan des Acoma, s'apprête à prononcer les mots qui la consacreront prêtresse pour le restant de ses jours, que Papewaio, le plus fidèle des soldats du clan, interrompt la cérémonie pour lui annoncer la mort de son père et de son frère. Propulsée à la tête du clan, Mara doit regagner ses terres en urgence pour sauver sa maison de la ruine et de la honte.
Car au Jeu du Conseil les ennemis des Acoma sont nombreux. Il faut reformer au plus vite l'armée décimée, pérenniser les liens commerciaux qui assurent au clan ses revenus et nouer des alliances politiques suscepyibles de mettre en échec les plans des maisons rivales. A condition, bien sûr, de survivre aux assassins toujours plus nombreux qui viennent la traquer jusque dans son fief...

 
Mon avis à Mouah :
 
 
Nouvelle trilogie ayant trait aux évènements qui se déroulent à Krondor durant la guerre de la faille. On y découvre l'envers du décor, et le point de vue de "l'ennemi", venu d'au-delà de la faille. Les Clans. Les Très-puissants. Les guerres intestines, l'empereur.
Mara s'apprête à devenir prêtresse de Lashima. Les coups du gong de méditation lors de la cérémonie résonnent lorsque les mots claquent dans la salle : "Nous venons chercher la Dame des Acoma!".
Dès cet instant, Mara ne s'appartient plus. Quelques coups de gong de plus auraient changé l'histoire. Mais Mara sait, à ces mots, que son père et son frère, partis faire la guerre sur Midkemia, sont morts et ne reviendront plus. Avec eux, 95% de l'armée familiale. L'honneur et les finances avec. Pour quelques coups de gong, le Clan des Acoma n'a pas été exterminé, malgré les machinations des clans rivaux. Mara n'a que quelques jours pour se plonger dans le Jeu du Grand Conseil, avant que ses ennemis n'apprennent que le Clan n'est pas mort. Il est évident que ses ennemis doivent l'exterminer au plus vite pour en finir une bonne fois pour toute. Cependant, le chagrin la submerge, et elle n'a jamais pratiqué le Grand Jeu. Arrivera-t-elle à survivre et à redorer son Clan ? 
 
Notes :
Format : 8/10
Poche. Mais énorme.
Attrait de la couverture : 10/10
On ressent l'inspiration asiatique qui s'en dégage et nous renvoie des échos de cerisiers en fleurs.
Attrait de la 4eme de couverture : 10/10
Du suspens et des intrigues prévues au programme.
Action : 10/10
Et on n'est pas déçus ! Il faut réussir à suivre !
Fin : 10/10
Fin classique, dénouement tiré au cheveu près, mais qui suggère que ce n'est pas fini. 
Facilité de lecture : 8/10
Livre très rythmé, très dense.
 
 
Note finale: 10/10
 
Conclusion : 
J'adore. La pluspart des ouvrages de Fantasy/SF ont pour protagoniste un mâle, alors que celui-ci est une jeune femme. Très jeune. Les femmes peuvent s'identifier plus facilement à elle, car, si ce n'est pas Xéna la guerrière, Mara est très forte à l'intérieur et très intelligente. Compte tenu des barrières liées à la loi et aux traditions, elle s'en sort remarquablement bien. On la suit à travers plusieurs étapes de sa vie : le chagrin, le mariage, la grossesse, les intrigues, et les obligations qui s'attachent à son titre de Dame des Acoma. Cela change agréablement des Lara Croft et autres walkiries.
 
 
 
Enjoy !